|
|
Pratiques en médecine du
travail face au
Covid19 |
|
|
|
|
Contributions
de
structures
syndicales à
la réflexion
|
|
SOIGNER
n'est
Pas
FICHER
Communiqué
du
SMG
L'éthique
des
médecins
n'est
pas
à
vendre
En
préparation
du
post-confinement,
l'Assurance
maladie
demande
aux
médecins
généralistes
de
collecter
des
données
personnelles
sur
leurs
patient·e·s
atteint·e·s
du
coronavirus,
mais
également
sur
leurs
proches
et
les
personnes
avec
lesquelles
ils
et
elles
sont
en
contact1.
Contrairement
à ce
qui
est
avancé,
ce
n'est
pas
de
la
santé
publique
et
si
les
médecins
suivent,
ils.
elles
trahiront
leur
éthique
professionnelle.
Les
médecins
devront
transmettre
ces
données
(coordonnées
complètes,
résultats
des
tests)
sur
des
plateformes
numériques
dénommées
«
contact
Covid
».
Le
projet
de «
loi
prorogeant
l'état
d'urgence
sanitaire
»
qui
doit
être
adopté
cette
semaine2
prévoit
que
ces
données
pourront
«
être
partagées,
le
cas
échéant
sans
le
consentement
des
personnes
intéressées
».
Les
contours
juridiques
restent
flous,
Lire
le
communiqué
|
|
|
Collectif
«
Personnels
des
services
de
santé
au
travail
UGICT-CGT
ET
CGT
|
CONFINEMENT,
DECONFINEMENT
VERS
UNE
MEDECINE
DU
TRAVAIL
DE
SELECTION
DE
LA
MAIN
D’OEUVRE
ET
DE
GESTION
DES
RISQUES
EN
ACCOMPAGNEMENT
DES
EMPLOYEURS
ET
DU
GOUVERNEMENT
Cette
crise
survient
alors
que
les
services
de
santé
au
travail
ont
été
régulièrement
bousculés
par
de
multiples
réformes
réglementaires
et
de
fonctionnement
qui
ont
eu
pour
objet
et
pour
effet
de
tenter
de
transformer
les
professionnels
de
ces
services
en
auxiliaires
du
management,
le
rapport
Lecocq
en
est
l’exemple
le
plus
récent.
Les
services
de
santé
au
travail
sont
eux
aussi
sinistrés
à la
fois
dans
les
moyens
de
leur
fonctionnement,
comme
pour
les
services
hospitaliers,
mais,
pire
encore,
dans
la
transformation
de
la
nature
même
de
leurs
missions..
Lire
le
communiqué
|
|
|
Communiqué à propos de l’ordonnance du 1er avril 2020 adaptant les conditions d'exercice des missions des médecins du travail à l'urgence sanitaire
Lire
le
communiqué
|
DECLARATION DE L’ASSOCIATION SMT
Nous souhaitons ici faire part de notre point de vue de professionnels de terrain sur la question de la prescription d’actes médicaux par les médecins du travail. Nous désirons rappeler en préambule que le médecin du travail est déjà un prescripteur. Il prescrit dans un cadre individuel :
Lire
le
communiqué
|
|
|
|
Communiqué
de
SNFOMTSIE
URGENCE
SANITAIRE
ET
URGENCE
SOCIALE
!
Dans
les
services
de
santé
au
travail
des
décisions
sont
prises
abruptement,
chômage
partiel
;télé
travail
;décalage
de
congés…Lire
le
communiqué
|
|
|
Communiqué sur
l’instruction relative
au fonctionnement des
services de santé au
travail pendant
l’épidémie de Covid19.
Le SNPST
est atterré à la lecture
de cette instruction qui
méconnait les principes
de prévention
élémentaires en temps
d’épidémie. La Direction
Générale du Travail va à
l’encontre de la
Direction Générale de la
Santé. Cette note
s’inscrit en
contradiction avec
l’exhortation du
Président de la
République à respecter
les recommandations de
prévention de
circulation du virus,
seul moyen de lutte en
complément des règles
d’hygiène indispensables
mais insuffisantes au
stade épidémique
Lire le communiqué |
Communiqué
du
SNPST
(Syndicat
National
des
Professionnels
de
Santé
au
Travail)
|
|
|
|
Collectif
«
Personnels
des
services
de
santé
au
travail
UGICT-CGT
ET
CGT
Votre
santé
au
travail
à
l'heure
de
l'épidémie
de
COVID-19
|
LE
CADRE
SPECIFIQUE
DE
LA
PREVENTION
LIEE
AUX
AGENTS
BIOLOGIQUES
Lorsque
l'exposition
des
travailleurs
ou
des
travailleusesà
un
agent
biologique
dangereux
ne
peut
être
évitée,
elle
est
réduite
en
prenant
les
mesures
suivantes
(article
R4424-3
du
code
du
travail)
: 1.
Limitation
au
niveau
le
plus
bas
possible
du
nombre
de
travaill.eur.euse.s
exposé.es
ou
susceptibles
de
l'être
; 2.
Définition
du
processus
de
travail
Lire
le
communiqué
|
|
|
Communiqué
CNPMT
à
l’attention
des
professionnels
de
santé
au
travail
Dans
la
confrontation
à la
pandémie
COVID
-19
le
CNPMT
a
pris
le
parti
de
rester
dans
un
premier
temps
sur
la
réserve
vu
l’investissement
cognitif
et
opérationnel
de
la
plupart
des
professionnels
de
santé
au
travail
dans
l’accompagnement
des
salariés
et
des
entreprises,
au
mieux
de
leur
possibilité.
Le
CNPMT
toutefois,
alerté
par
plusieurs
de
ses
membres,
attire
l’attention
sur
trois
conditions
de
cadrage
de
l’action
de
la
médecine
du
travail.
Lire le communiqué |
Conseil
National
Professionnel
de
la
Médecine
du
Travail
C N
P M
T |
|
|
|
Contributions
de
professionnels
|
FICTION
?
En
2021
: le
COVIP-2019
a
fait
passer
la
médecine
du
travail
à
l'ère
3.0
Vous
souvenez
vous
de
la
sympathique
utopie
soixante-huitarde
de
la
médecine
du
travail
d'avant
les
années
2010
?
Elle
prétendait
non
seulement
connaitre
tous
les
rouages
de
l'entreprise
en
consultants
tous
les
salariés
tous
les
ans
(ils
appelaient
cela
" la
clinique
médicale
du
travail
").
De
plus
ils
voulaient
donner
des
conseils
de
prévention
et
d'amélioration
des
conditions
de
travail,
comme
si
les
entrepreneurs
et
la
représentation
officielle
des
collaborateurs
salariés,
n'étaient
pas
les
mieux
placés
!
Lire la
suite
|
|
"
To
test
or
not
to
test
COVID19
"
Telle
est
la
question
d'un
médecin
du
travail
confiné
?
Après
une
"
quatorzaine
" de
chômage
partiel
(sans
lien
avec
un
contage
viral
"
coronarien
"),
la
direction
de
notre
service
de
santé
au
travail
nous
adresse
un
courriel
nous
informant
que,
seuls
les
médecins
du
travail,
seront
désormais
en
télétravail.
Elle
argumente
ce
changement
de
doctrine,
suite
à la
réponse
du
médecin
inspecteur
à
mon
courrier
demandant
à ma
direction
de
télétravailler
: "
Les
services
de
santé
travail
vont
devoir
rémunérer
les
médecins
du
travail
car
ils
ne
sont
pas
éligibles
à
l'activité
partielle.
Ils
doivent
poursuivre
leur
activité
comme
précisé
dans
l'instruction
de
la
Direction
Générale
du
Travail
du
17
mars
2020.
"
Lire la
suite
|
|
Mise en
chômage
technique du
médecin du
travail
Contestation
par Modèle
de lettre
type ci
jointe.
Les médecins
du travail
étant des
salariés
protégés ,
leurs
directions
ne peuvent
leur imposer
le chômage
technique.
suivre ce
lien
|
|
|
|
« CSE
masqué » en
temps de
COVID-19
Depuis
une semaine,
la direction
de mon
service de
santé au
travail a
décidé,
sans
dialogue
social, une
organisation
du travail
m'excluant
de mes
missions :
l'activité
de chômage
partiel.
Néanmoins,
dans le
cadre de mes
obligations
de moyens de
docteur en
médecine, je
contactais
le lendemain
la
secrétaire
médicale, en
télétravail
avec ses
deux enfants
en bas âge,
pour lui
demander de
transmettre
aux
entreprises
et aux
salariés mes
coordonnées
téléphoniques
professionnelles.
Le premier
jour, la
fille d'un
salarié,
Lire la
suite
|
|
|
Epidémie
et
Médecine
du
travail
la
proposition
est
d’en
considérer
les
déterminants
et
de
permettre
une
réflexion
sur
la
conduite
à
tenir,
comme
médecin
du
travail,
c’est-à-dire
comme
spécialiste
médical
de
la
prévention
des
risques
de
leurs
effets
en
milieu
de
travail
du
point
de
vue
exclusif
de
l’intérêt
de
la
santé
des
travailleuses
et
des
travailleurs
Il
s’agit
ici
de
considérer
cette
situation
comme professionnel.le
de
ce
secteur
d’un
triple
point
de
vue
: |
-
Celui
des
droits
de
la
travailleuse
ou
du
travailleur
en
matière
de
prévention
à
travers
les
principes
généraux
de
prévention
-
Du
point
de
vue
pratique
comme
le
ferait
un
médecin
d’un
secteur
concerné
par
le
risque
-
Enfin
d’un
point
de
vue
politique
pour
en
peser
les
implications
en
termes
d’erreur
et
de
responsabilité.
Lire
la
suite
|
Un
texte
d'Alain
CARRÉ
|
|
Un
texte
d'Alain
CARRÉ
|
Ordonnance
2020-323
du
25/03/2020
et
mise
en
danger
d'autrui
L’objet
de
cette
contribution
est
d’alerter
sur
les
risques
pour
la
santé
des
travailleurs
et
des
travailleuses,
mais
aussi
des
tiers
des
dispositions
des
ordonnances
du
25
mars
2020
et
notamment
des
articles
6 et
7 de
l’ordonnance
2020-323.
Ces
dispositions,
par
ailleurs
préjudiciables
aux
libertés
publiques,
méritent
des
commentaires
citoyens
et
juridiques,
ainsi
que
les
motifs
qui
tentent
de
les
justifier.
Toutefois,
d’un
point
de
vue
médical
elles
sont
contestables
et
relèvent
soit
d’un
mépris
pour
la
santé
d’autrui
soit
d’une
ignorance
particulièrement
consternante.
C’est
de
cet
unique
point
de
vue
que
j’ai
choisi
d’intervenir.
Rappelons,
ici,
que
la
mission
et
les
compétences
d’un
médecin
du
travail
concernent
aussi
la
sécurité
des
tiers.
Lire la
suite
|
|
Les
recommandations
de
la
SFMT
sont
utiles
pour
les
gestionnaires
de
RH
mais
pas
pour
les
médecins
du
travail
Ainsi
nous
établissions
des
listes
de
personnes
particulièrement
fragile,
avec
le
souci
du
secret
médical,
qui
étaient
tous
les
soirs
envoyées
à la
DRH.
Cette
dernières
avaient
l’air,
jusque
là,
de
décider
d’un
confinement
à
domicile
pour
ces
personnes.
Pour
les
autres,
des
réaffectation
au
cas
par
cas,
notamment
en
dehors
de
services
à
haute
densité
virale
pouvaient
être
décidé
par
la
DRH.
Deuxième
semaine,
parution
des
recommandations
de
la
SFMT
et
changement
de
paradigme
Lire la
suite
|
Romain
Da
Rocha
Interne
en
médecine
du
travail |
|
Médecine
du
travail
et
prescription.
Alain
CARRE |
Vers
une
médecine
d'entreprise
:
pendant
l'épidémie
la
casse
continue
Pourquoi,
mettre
en
place
des
dispositions
qui
s'avèrent
médicalement
et
techniquement
inutiles
sinon
pour
donner
une
prérogative
supplémentaire
au
médecin
du
travail
permettant
d'accentuer
ce
rôle
de
sélectionneur,
d'évaluateur
"
entre
l'état
de
santé
constaté
et
l'état
de
santé
recherché
par
la
rentabilité
et
le
profit
".
En
autorisant
la
possibilité
de
prescription
au
médecin
du
travail
celui-ci
devient
non
seulement
susceptible
d'agir
en
matière
de
santé
au
travail
mais
aussi
d'influencer
la
santé
du
travailleur
dans
le
sens
de
la
rentabilité
et
du
profit.
La
preuve
de
cette
dérive
dans
l'exercice
de
la
médecine
du
travail
existe
déjà
dans
certains
services
autonomes
de
santé
au
travail
de
grandes
entreprises,
plus
préoccupés
de
lutte
contre
les
addictions,
la
mauvaise
nutrition,
les
bienfaits
de
l'exercice
physique
que
de
prévention
des
risques
professionnels.
Lire la
suite
|
|
Médecine
du
travail
sur
ordonnance
Face
à la
pandémie
de
Covid-19,
le
ministère
du
Travail
vient
de
prendre
une
ordonnance
recentrant
les
missions
des
services
de
santé
au
travail
sur
l’urgence
sanitaire.
Jusqu’au
31
août,
les
médecins
du
travail
pourront
notamment
prescrire
des
arrêts
maladie.
|
«
Les
services
vont
devoir
se
bouger
»
Une
mission
de
prévention,
et
non
d’appui
aux
entreprises
Nouvelle
pression
sur
les
médecins
du
travail
Associés
au
dépistage
«
Nous
n’avons
pas
les
moyens
»
Report
des
visites
Lire la
suite
|
par
Clotilde
de
Gastines
/ 02
avril
2020 |
|
|
|
|
|
|
|
|