.
Les
Procès des Médecins
aux Conseils de
l'Ordre des Médecins
|
|
2023 |
Convocation
du Dr
Jean-Louis
ZYLBERBERG
médecin du
travail, le
28 novembre
à 9h30
devant la
chambre
régionale
disciplinaire
de l’Ordre
des médecins
faisant
suite à la
plainte d’un
employeur
pour
« certificats
médicaux de
complaisance |
|
Médecin
du travail d’une entreprise francilienne de
fabrication et livraison de portes blindées,
depuis juillet 2019, il est reproché au Dr
Jean Louis ZYLBERBERG d’avoir conclu plusieurs
inaptitudes médicales jusqu’à février 2022,
date à laquelle une plainte, contre lui, de cet
employeur a été déposée auprès du conseil
départemental de l’ordre des médecins de Paris (CDOM).
Ces avis d’inaptitude sont assimilés par le
CDOM à des certificats médicaux de
complaisance., Or un avis d’aptitude n’est pas
un certificat médical.
Depuis 2017, l’employeur ou le salarié ont, en
outre, la possibilité de contester tout avis
d’aptitude du médecin du travail devant le
conseil des prud’hommes dans un délai de quinze
jours.
Or cet employeur ne l’a jamais fait et a
toujours entamé une procédure de licenciement à
la suite des avis d’inaptitudes.
La plainte au conseil de l’ordre pourrait,
par conséquent, constituer un abus de
juridiction.
Le cabinet d’avocat de l’employeur produit un
courrier remis par le Dr ZYLBERBERG en mains
propres à un salarié pour son médecin
généraliste dans lequel le Dr ZYLBERBERG évoque
« une maltraitance organisationnelle » dans
cette entreprise.
Le salarié n’ayant pas de contentieux
prudhommal, comment ce courrier est-il arrivé
dans les mains de l’employeur ?
Se procurer des éléments couverts par le
secret médical constitue, rappelons-le, un
délit.
Devant l’impossibilité de conciliation, le Dr
ZYLBERBERG est convoqué
le 28 novembre 2023, au 9 rue Borromée 75015
Paris à 9h30.
Nous appelons à un rassemblement
devant l’instance disciplinaire
régionale de l’Ordre des médecins, 9 rue
Borromée 75015 Paris
à partir de 9h
ASSOCIATION SANTE ET MEDECINE DU TRAVAIL
61 avenue Camus, 44000 Nantes
06 79 72 44 30
http//www.a-smt.org,
secretaire@a-smt.org |
|
2020 |
Appel disciplinaire public du Dr Nayt
L’ORDRE DES MEDECINS A CHOISI SON CAMP
Celui de la collaboration avec les
employeurs, contre la santé des
salarié.e.s et les pratiques des
médecins !
NE LE LAISSONS PAS
FAIRE ! |
Par une décision en date
du 12 avril 2018,
la
Psychiatre Gael NAYT a été condamnée à 3
mois d’interdiction d’exercice, dont un
mois ferme en première instance
disciplinaire de l’Ordre des Médecins.
Elle avait imputé un état de stress aigu
à la situation professionnelle de son
patient et avait décrit les
complications
lire la suite
|
Le 27 février 2020
Compte-Rendu
Nous étions une trentaine
le 26 février 2020 devant le CNOM dont
une dizaine de l'ass-SMT en soutien de
l'appel du Dr Gael Nayt. Avec aussi une
forte participation de la FERC-CGT, du
MIOP, du SNJMG etc Deux journalistes, le
Monde et Le Quotidien du médecin.
L'audience a été édifiante dans son
fonctionnement. Refus de prendre en
compte le procès du patient contre son
employeur aux Prud'hommes. .
lire la suite
|
|
2018 |
|
19-11-2018
Communiqué de
l’association SMT et
de l’USP,
Le Conseil d’état ou
« Courage, fuyons »
Le conseil d’état le
24-10-2018 a refusé
de se prononcer sur
le déni de
justice que connaît
le Dr Karine Djemil.
Rappelons que ce
médecin du travail a
été l’objet de deux
plaintes
d’employeurs
différents pour
avoir remis à des
salariés des
extraits du dossier
médical consistant
en l’étude de poste,
rendue obligatoire,
et qui mettait en
lumière des
pratiques de
harcèlement sexuel.
• Elle a été
condamnée à six
mois
d’interdiction
d’exercice, dans
des conditions
très douteuses
en première
instance,
• Traitée
d’affabulatrice
par le président
de l’instance
qui a trahi le
secret de la
délibération en
demandant une
expertise
psychiatrique.
• En appel cette
condamnation a
été confirmée à
trois mois ferme
et trois mois
avec sursis. Une
procédure de
licenciement est
actuellement en
cours. Le
préjudice est
majeur.
.lire la suite
|
. |
23/10/2018
Employeurs, harcelez
tranquilles, l'Ordre
des médecins vous
protège !
L'Union syndicale de
la psychiatrie a
appris par la presse
(Centre presse en
date du 16 octobre)
qu'un psychiatre du
Centre Hospitalier
Laborit à Poitiers
allait comparaître
devant la chambre
disciplinaire de
l'Ordre régional des
médecins Pays de la
Loire à la demande
du Conseil de
l'Ordre des médecins
de la Vienne. C'est
l'Afpa (Agence
nationale pour la
formation
professionnelle des
adultes) qui a saisi
ce Conseil de
l'Ordre, lequel a
porté plainte contre
ce psychiatre
hospitalier pour «
manque
d'impartialité », «
manque de prudence
», nous dit la
presse. La personne
qui fut l'objet du
certificat médical
du confrère a porté
plainte par ailleurs
contre cet
employeur, l'AFPA,
pour harcèlement
moral
.lire la suite
|
|
12/07/2018
Analyse de décisions
des instances
disciplinaires de
l'ordre des médecins
: de graves
dysfonctionnements
liés à leur statut
de juridictions
d'exception
Une
analyse de décisions
des instances
disciplinaires de
l'ordre des médecins
et des arrêts du
conseil d'état
qu'elles suscitent,
suite à des plaintes
d'employeur auprès
de cette
institution, à
l'encontre de
médecins du travail,
est indispensable
pour comprendre leur
sous-bassement
idéologique.
.lire la suite
|
|
|
Le Conseil d'état
place l'ordre des
médecins en arbitre
social
Les
employeurs avec la
complicité du
Conseil d'Etat
placent l'ordre des
médecins en arbitre
de la question
sociale. Face à une
atteinte à la santé
au travail, les
certificats médicaux
étiologiques sont
interdits. Les
chambres
disciplinaires
ordinales sont des
juridictions
d'exception qui
structurent cet
édifice pétainiste.
Rejet du recours de
Dominique Huez
médecin du travail
devant le Conseil
d'état, après sa
condamnation à un "avertissement" par
l'ordre des médecins
1 Conséquences pour
les pratiques
médicales :
.lire
la suite
|
|
12-06-2018
Communiqué de
l'association SMT
Après le Conseil
de l'Ordre des
médecins, le Conseil
d'Etat rend
impossible
l'exercice
professionnel des
médecins du travail
!
Le 6 juin 2018, le
Conseil d'Etat a
confirmé
l'avertissement
prononcé par la
chambre
disciplinaire
nationale du Conseil
de l'Ordre à
l'encontre du
Docteur Huez.
L'entreprise ORYS,
sous-traitant d'EDF,
avait porté plainte
contre le Dr
Dominique Huez à la
suite de son
certificat médical
remis à un salarié
qu'il avait vu en
urgence, où il
mentionnait que sa
pathologie
anxiodépressive
était en lien avec "
l'enchaînement de
pratiques
maltraitantes de son
entreprise.
.lire
la suite
|
|
23-05-2018-La
Décision De
L’instance
Disciplinaire
Condamnant Le Dr
Djemil :
Incompétence
Médicale ou
Parti-pris
Idéologique ?
La décision de la
chambre
disciplinaire
nationale concernant
le Dr
Karine
Djemil soulève une
légitime indignation
et la demande de
suppression des
instances
disciplinaires de
l’Ordre et d’une
enquête
parlementaire sur
leurs pratiques est
particulièrement
pertinente dans ce
contexte.
Ainsi, la prise en
compte des plaintes
d’employeur, son
caractère
attentatoire au
secret médical
puisque donnant à un
tiers l’accès à des
éléments concernant
un salarié,
l’impossibilité pour
le praticien mis en
cause de se défendre
devraient inciter à
mettre fin à ces
instances
d’exception..lire
la suite
|
|
|
11-Mai-2018
Communiqué
de
l’association
SMT et du
SMG
|
.
|
Par
une décision en date
du 4 mai 2018, le
médecin du
travail Karine
Djémil vient d’être
condamnée
à 6 mois
d’interdiction
d’exercice dont
trois fermes, en
appel par la chambre
disciplinaire
nationale de l’ordre
des médecins, pour
avoir donné des
soins médicaux à
plusieurs femmes
harcelées
sexuellement du fait
de leur travail. Son
exercice médical
clinique
compréhensif
vis-à-vis des
victimes, trop peu
fréquent
aujourd’hui, est
très durement
sanctionné, alors
que ses pairs lui
reconnaissent ici
une pratique
exemplaire dont elle
a rendu compte
précisément lors de
l’audience d’appel.
.lire la
suite
|
|
11-10-2017-Le Conseil d’État rejette un recours
mettant en cause la possibilité pour un employeur d’être
à l’origine d’une procédure disciplinaire contre un
médecin |
|
COMMUNIQUÉ DE L’ASSOCIATION SMT |
Une
décision lapidaire qui démontre l’embarras du conseil
d’état confronté aux instances d’exception des ordres
professionnels. Cette décision, du 11 octobre 2017,
rejette la requête de plusieurs organisations, qui avait
pour but d’empêcher que la rédaction de l’article R
4126-1 du code de la santé publique permette le dépôt de
plaintes d’employeurs contre un médecin ayant rédigé un
certificat médical concernant un salarié. Elle ne va pas
grever le bilan carbone. Elle tient en deux pages y
compris les fioritures habituelles.
Ce
qui est particulièrement étonnant ici c’est la pauvreté
du raisonnement juridique de cette décision qui se
contente d’affirmer sans démontrer. Le rapporteur public
avait ouvert la voie dans cette direction.
lire la
suite
|
"L'objectif pour les associations était d'interdire
qu'un employeur puisse faire pression sur un médecin du
travail en initiant une action disciplinaire contre lui
à raison des certificats ou attestations qu'il aurait
rédigés et qui feraient un lien entre la pathologie dont
souffre un salarié et les conditions de travail de ce
dernier. (...) Par la décision de ce jour, le Conseil
d'État rejette le recours des associations, tout en
apportant quelques précisions sur l'interprétation à
donner à l'article du code de la santé publique
contesté."
lire la suite
|
|
|
17-10-2017-Prendre
l’Ordre des médecins
à contrepied
Une contribution
juridique très
intéressante pour
les médecins ayant
attesté d’un lien
santé-travail,
médecins dans
l’impasse après le
blocage du Conseil
d’état face aux
plaintes
d’employeurs devant
l’Ordre des
médecins. En effet,
si ces médecins
respectent le secret
médical en
conciliation, ils se
retrouveront en
chambre
disciplinaire
automatiquement.lire la
suite
|
|
Extraits de la
requête devant la
CEDH
déposée le 11 avril
2018, pour le
syndicat national
des médecins du
travail des mines et
des industries
gazières (SMTIEG-cgt),
l'association santé
et médecine du
travail (ass.SMT) et
le syndicat de la
médecine générale
SMG), contre la
France, et ayant
pour avocat maitre jl Macouillard du
cabinet TTLA.
Le
droit disciplinaire
français relatif aux
médecins, aux
chirurgiens-dentistes
et aux sages-femmes
porte une atteinte à
deux garanties
fondamentales
protégées par la
convention
européenne des
droits de l'homme en
ses articles 6§1 et
8, le droit à la vie
privée des patients
et celui à un procès
équitable du
soignant envers
lequel une plainte
est déposée.
.lire la
suite
|
|
Compte-rendu de
l’avis du Rapporteur
Public concernant le
Pourvoi formé par D.
Huez
séance publique du
Conseil d’Etat du 23
mai 2018
Le Rapporteur public
verrouille en la
permettant,
la possibilité pour
les employeurs de
porter plainte
devant le conseil de
l’ordre des
médecins, en cas
d’attestation par un
médecin du lien
entre l’atteinte à
la santé et le
travail. Il suffit
pour cela qu’un
employeur fasse le
constat que sa
responsabilité comme
employeur, puisse
être recherchée ! A
nouveau les effets
de ces plaintes –
réception par
l’ordre contraire
aux articles 6
(défense équitable)
et 8 (respect de la
vie privée des
personnes)
qu’entraine le
secret médical, de
la CEDH – ne sont
pas instruits. Cela
permet objectivement
d’empêcher tout
médecin d’attester
du lien entre
l’atteinte à la
santé et le travail..lire
la suite
|
|
|
12-03-2018-La
parole des femmes
compte t elle pour
le conseil de
l'ordre des médecins
?
Dans
notre précédent
communiqué nous
explorions les
raisons des
difficultés du
CNOM
et de ses instances
disciplinaires à se
prononcer sur la
situation du Dr
Karine DJEMIL.A
travers les
décisions de
l'instance régionale
c'est la question
essentielle de la
valeur de la parole
des femmes, qu'elles
soient médecins ou
patientes, qui se
pose ici.Cette
affaire aurait pu
rester confinée dans
l'enfer du sexisme
institutionnel ce
qui est fréquent
dans les
institutions de
l'ordre des médecins
(voir les poursuites
contre les médecins
violeurs par
exemple).
Malheureusement pour
cette institution,
les plaintes
concernant le Dr
DJEMIL ont été
rattrapées par le
surgissement, dans
le monde entier, des
luttes contre le
harcèlement sexuel
et notamment celui
des femmes au
travail..lire la
suite
|
|
18-01-2018
Face au harcèlement
sexuel
professionnel,
l'ordre des médecins
au minimum passif.
il persiste a
interdire les écrits
médicaux attestant
de ces effets sur la
sante
Nous
étions une trentaine
de personnes ce
mercredi matin 17
janvier 2018 pour
assister à
l'instance
disciplinaire
nationale d'appel de
l'ordre des médecins
concernant le Dr
Karine DJEMIL.
Rappelons que ce
médecin du travail
avait été condamnée
à six mois
d'interdiction
d'exercice (!) pour
avoir remis à deux
salariées des études
de leur poste de
travail rédigées en
appui d'inaptitude
médicale de
sauvegarde
participant du
dossier médical et
fondées sur une
démarche de clinique
médicale du travail.
Ces études
décrivaient en
particulier des
faits de harcèlement
sexuel lire la
suite
|
|
2017 |
|
|
|
17-10-2017-Prendre
l’Ordre des médecins
à contrepied
Une contribution
juridique très
intéressante pour
les médecins ayant
attesté d’un lien
santé-travail,
médecins dans
l’impasse après le
blocage du Conseil
d’état face aux
plaintes
d’employeurs devant
l’Ordre des
médecins. En effet,
si ces médecins
respectent le secret
médical en
conciliation, ils se
retrouveront en
chambre
disciplinaire
automatiquement. lire la
suite
|
|
11-10-2017-Le Conseil d’État rejette un recours
mettant en cause la possibilité pour un employeur d’être
à l’origine d’une procédure disciplinaire contre un
médecin |
|
COMMUNIQUÉ DE
L’ASSOCIATION SMT |
Une
décision lapidaire qui démontre l’embarras du conseil
d’état confronté aux instances d’exception des ordres
professionnels. Cette décision, du 11 octobre 2017,
rejette la requête de plusieurs organisations, qui avait
pour but d’empêcher que la rédaction de l’article R
4126-1 du code de la santé publique permette le dépôt de
plaintes d’employeurs contre un médecin ayant rédigé un
certificat médical concernant un salarié. Elle ne va pas
grever le bilan carbone. Elle tient en deux pages y
compris les fioritures habituelles.
Ce
qui est particulièrement étonnant ici c’est la pauvreté
du raisonnement juridique de cette décision qui se
contente d’affirmer sans démontrer. Le rapporteur public
avait ouvert la voie dans cette direction.
lire la
suite
|
"L'objectif pour les associations était d'interdire
qu'un employeur puisse faire pression sur un médecin du
travail en initiant une action disciplinaire contre lui
à raison des certificats ou attestations qu'il aurait
rédigés et qui feraient un lien entre la pathologie dont
souffre un salarié et les conditions de travail de ce
dernier. (...) Par la décision de ce jour, le Conseil
d'État rejette le recours des associations, tout en
apportant quelques précisions sur l'interprétation à
donner à l'article du code de la santé publique
contesté."
lire la suite
|
|
|
13-09-2017
Compte-rendu de
l'avis du Rapporteur
public auprès du
Conseil d'Etat lors
de la séance
publique de jugement
pour la requête
collective de six
organisations pour
abroger
partiellement le R.
4126-1 du CSP, afin
de permettre aux
médecins d'attester
d'un lien
santé-travail |
Le
13 septembre 2017,
le rapporteur public
a ignoré sans
vraiment les
instruire en droit,
les arguments des
requérants qui lui
permettraient de
conclure à
l'irrecevabilité des
plaintes
d'employeurs devant
l'ordre des
médecins. En effet
la préservation du
secret médical
empêche les médecins
de se défendre face
à un employeur. Le
rapporteur public a
choisi de cautionner
une pratique
disciplinaire
ordinale qui ignore
le soubassement
déontologique de
l'intérêt exclusif
de la santé des
patients. Face aux
atteintes à la santé
au travail et pour
l'attestation
médicale de ce lien,
il prive des malades
des soins médicaux
appropriés.
lire la suite
|
|
15-08-2017
L'enjeu
véritable de
l'acharnement que
subit d. Huez
Communiqué de
l'A-SMT suite au
tribunal d'instance |
Il
ya deux façons de
rendre la justice.
L'une, celle
des fonctionnaires
de la justice,
consiste à appliquer
la loi à la lettre.
L'autre, celle que
met en œuvre un juge
véritable, a pour
objet de rendre
justice en
s'intéressant au
fond du conflit, en
s'efforçant d'en
comprendre les
racines. D. HUEZ,
demandait un simple
sursis, jusqu'à la
décision du Conseil
d'Etat, au versement
d'une somme, à
laquelle l'a
condamné le conseil
de l'ordre des
médecins. Il a été
condamné à nouveau
par une juridiction
d'application du
tribunal d'instance
qui a
considérablement
aggravé les
pénalités
financières ! Elle
n'a pas tenu compte
du contexte, alors
qu'elle a censuré la
saisie des véhicules
de la famille qui
signait
l'acharnement abusif
de la société
plaignante. lire la suite
|
|
4-04-2017
Bilan chiffré des
Plainte d'employeurs devant l'Ordre des médecins
contre des médecins du
travail, psychiatres, généralistes, praticiens
hospitaliers spécialisés en psychopathologie du
travail
Pour avoir
attesté d'un lien entre la santé de leur patient
et leur travail, dix à quinze plaintes annuelles
nous sont connues depuis 2013, soit par
évaluation au moins 100 médecins qui sont
poursuivis annuellement par des employeurs
devant l'ordre des médecins. Peut-être 200 à
400. Suite à ces plaintes d'employeurs, 50% des
médecins au minimum renoncent à leur diagnostic
en "conciliation" ordinale avec un employeur,
probablement 70%. Et 40% des médecins sont
envoyés en chambre disciplinaire ; 90% des
médecins y sont alors condamnés.Evaluation
au 4/04/2017
Suivre ce lien
|
|
24-03-2017
Pétition Santé Contre la
collusion entre les employeurs et l'ordre des
médecins
À
l'attention : de
l'État, de l'Ordre
des médecins
La
société Orys,
sous-traitante dans
le nucléaire, n'a
jamais accepté que
le docteur Dominique
Huez, médecin du
travail à la
centrale nucléaire
EDF de Chinon dans
l’Indre
et Loire,
fasse le lien entre
la maltraitance au
travail et la
pathologie d’un
salarié.
Démarche non isolée
: Orys fait partie
de ces employeurs
qui veulent empêcher
les médecins du
travail de remplir
leur mission au
service des
salariés. Leur
objectif est
d'obliger les
médecins du travail
à ne pas indiquer
l'existence d'un
lien entre santé et
travail. Une
centaine de
praticiens sont
ainsi visés chaque
année en France. Il
s’agit d’une
stratégie globale
qui tend à remettre
en cause l’ensemble
des protections des
salariés (loi
Macron, inspection
du travail, loi
travail, etc.)
Lire la suite
Signez
la pétition |
|
22-01-2017-L'entreprise
Harceleuse ORYS veut
mettre à genoux les
médecins du travail
Faire peur et mettre
aux pas les médecins
du travail. Orys
entreprise
harcelante,
maltraitante envers
certains salariés et
mise en exergue dans
d'autres affaires,
veut mettre à genoux
les médecins du
travail qui lui
résistent, ici le Dr
Dominique Huez
médecin du travail
de la centrale
nucléaire de Chinon
qui a agi dans
l'intérêt de la
santé d'un salarié
en attestant par un
écrit médical du
lien entre sa
pathologie et son
travail. A la
demande de ORYS il
est menacé par
huissier de
Saisie-vente sur ses
biens, avec la
complicité de
l'ordre des médecins
et la connivence de
l'entreprise EDF.
Indignons-nous et
soutenons-le !
lire la suite
Position de la CGT
confédérale
Une-manœuvre-odieuse
Communiqué de
soutien du
SMG (Syndicat
de la Médecine
Générale)
lire
le communiqué
|
|
2016 |
. |
11-12-2016 Incompétence
et complicité des
instances
disciplinaires de
l’ordre des
médecins : Il est
temps que cela cesse
La
plainte du chef
d'établissement
contre le Dr S
a été déclaré
recevable et
transmise par le
conseil
départemental de
l'ordre des
médecins. Il a été
condamné par
l'instance
disciplinaire
régionale. Cette
condamnation a été
confirmée par
l'instance
disciplinaire
nationale de l'ordre
au motif qu'il
aurait méconnu
l'obligation
déontologique de
moralité !
Nous accusons
d'incompétence ces
instances
d'exception qui ont
condamné un médecin
du travail au motif
qu'il a accompli son
devoir en appliquant
des dispositions du
code du travail
Nous accusons
le président du
conseil de l'ordre
de ne pas intervenir
pour faire cesser ce
qui constitue un
déni de droit et un
détournement de
la déontologie
médicale
Nous accusons
la ministre de la
santé de laisser
perdurer de telles
pratiques
incompatibles avec
un état de droit.
lire la suite
|
|
MIOP-2016 Mouvement
médical d’Insoumission Ordinale Partielle |
L’Ordre
des médecins, structure réactionnaire à sa
naissance en 1940 et depuis toujours très
conservatrice, ne peut pas représenter l’unité
du « Corps Médical de France ». Il a toujours
été contesté et il aurait dû disparaître lors de
l’élection de 1981 … sa suppression faisait
partie des 110 propositions du candidat François
Mitterrand. Le reniement de ce pouvoir
socialiste a été un facteur important de baisse
de la contestation.
Nous
nous élevons contre les nombreuses interventions
et prises de positions ordinales en 2015 :
L’Ordre a accepté de recevoir, au mépris du
secret médical et de la santé des patients, des
centaines de plaintes d’employeurs contre des
médecins du travail, psychiatres, généralistes,
qui avaient attesté par écrit de leur diagnostic
du lien entre l’atteinte à la santé de leur
patient et leur travail. Ces plaintes sont
pourtant irrecevables au niveau juridique ;
L’Ordre a intenté des procès à des médecins,
notamment retraités sans activité médicale
rémunérée, pour non paiement de cotisation ;
L’Ordre a eu des pratiques disciplinaires
partiales et injustes qui ont frappé entre
autres le Dr Nicolas BONNEMAISON, qui se trouve
privé d’activité médicale au moins jusqu’en 2017
du seul fait de la décision ordinale ;
L’Ordre a pris des positions contre le
projet de tiers payant généralisé, contre la
démarche de lanceuse d’alerte du Dr Irène
FRACHON…lire
la suite |
|
|
28-09-2016
Il est interdit
par un " Ordre "
aux ordres, à
tout médecin de
rechercher toute
cause
professionnelle
pour une
psychopathologie
du travail !
Dominique Huez
et Bernadette
Berneron
médecins du
travail sont
tous les deux
condamnés en
appel, par une
décision rendue
publique le 26
septembre 2016,
suite à la
plainte de deux
employeurs. Leur
"avertissement"
est confirmé par
la chambre
disciplinaire
nationale de
l'ordre des
médecins ; des
interdictions
d'exercice se
profilent ! Cela
pour avoir
attesté du lien
entre la santé
altérée et le
travail de leurs
patients. Depuis
2016, six
plaintes nous
sont connues ;
15 par an
viennent à notre
connaissance.
Cent plaintes
d'employeurs
existent
annuellement.
Quatre requêtes
ou cassation
sont devant le
Conseil d'Etat
pour cela. Le
gouvernement
refuse d'agir !
lire la suite
|
10-06-2016
Billet du
coordonnateur
:
UN SOUTIEN
IMPORTANT, UNE INSTANCE DISCIPLINAIRE MAL A
L'AISE
Nous
étions une petite centaine venus soutenir
Dominique HUEZ et Bernadette BERNERON ce
mercredi 08 juin 2016 devant la chambre
disciplinaire du CNOM. Il faut remercier les
organisations qui avaient appelé à se rassembler
et personnellement chaque participant(e) qui a
manifesté son soutien éclairé à nos collègues.
Dans
ces instances, qui fonctionnent habituellement
dans une ambiance feutrée, une assistance
nombreuse même muette est une garantie de
déroulement plus normal. Par exemple, la volonté
d'abréger l'expression des défenseurs était
manifeste
lire la suite
|
|
|
Paris
8 Juin 2016
Chambre Nationale
disciplinaire de
l'Ordre des Médecins
Eléments de défense
du Dr D. HUEZ et B.
BERNERON
- D Huez sa défense
médicale et le
soutien de A Carré
- B Berneron sa
défense médicale et
le soutien de D
Huez.
|
|
13-05-2016
Information -
-
l'Association Santé
et Médecine du
Travail a-SMT
- le Syndicat
National des
Médecins du Travail
des Mines et des
Industries
Electriques et
Gazières SMTIEG-CGT
- le Syndicat de la
Médecine Générale,
- l'UGICT CGT
- Solidaires
- l'Association
d'aide aux victimes
et aux organisations
confrontées aux
suicides et
dépressions
professionnels (ASD
PRO)
|
Le texte de
la requete
|
Sollicitent
l'abrogation
partielle de
l'article R 4126-1
du code de la santé
publique en ce qu'il
permettrait (?) aux
employeurs de saisir
l'Ordre des médecins
de pratiques
d'écrits médicaux
qui selon eux,
mettraient en cause
leur responsabilité
devant les
prud'hommes par
exemple. (Pièce
jointe).
|
|
Si cette
requête
n'étaient
pas prise en
compte par
le premier
Ministre,
les six
requérants
en feront
appel devant
le Conseil
d'Eta
Requête au
Conseil
d'état du 14
Septembre
2016 |
Requête au
conseil
d'état
|
|
|
28-03-2016
Billet du
coordonnateur : Le
CNOM en injonction
paradoxale :
l'accouchement
risque d'être
compliqué
Il
aura donc fallu 9
mois pour que soient
à nouveau inscrits à
l’ordre du jour de
l’instance
disciplinaire
nationale de l’ordre
des médecins les
appels concernant
les Drs BERNERON et
HUEZ.
Une
première remarque
est que leurs sorts
paraissent
indissolublement
liés. En effet, les
deux appels seront
traités le même
jour, le 8 juin,
comme il y a 9 mois.
Cela en dit long sur
l’impartialité des
verdicts dont on
peut parier à coup
sur qu’ils sont déjà
écrits.
L’accouchement
est donc préparé de
longue date mais
l’incertitude
demeure sur la
nature du bébé. Nous
avons en mémoire
l’absolution donnée
par l’instance
nationale à un
psychiatre se
livrant à des
« autopsies
psychiques »
publiques, rectifiée
in extremis par le
Conseil d’état sur
plainte d’un
syndicat de
personnel des
services de santé au
travail. .
lire la suite
|
|
18-02-2016
Communique pour la
constitution d’un
comite de soutien au
Dr. Djemil
Le Dr
Karine DJEMIL est
intervenue pour
protéger deux
salariées en grande
souffrance suite à
harcèlement sexuel.
Quelques jours après
sa condamnation à
une peine
exceptionnellement
sévère de six mois
d’interdiction
d’exercice dont elle
a fait appel, le
président de
l’instance
disciplinaire
l’a dénoncée à
l’ordre des
médecins,
comme relevant d’une
expertise
psychiatrique
contraignante au
motif subjectif
qu’elle « aurait «
interprété » des
faits et des
attitudes anodins
(…) en leur prêtant
une connotation «
sexuelle » assez
délirante ».
Ce n’est que dans un
pays totalitaire
qu’on utilise la
psychiatrie comme
moyen de répression.
Faut-il croire que
toutes les femmes
qui se disent
victimes de
harcèlement sexuel
sont des hystériques
affabulatrices, et
celles et ceux qui
leur porte
assistance médicale
de dangereux
déments ?
.lire la suite
|
|
13-03-2016
Lettre ouverte a la
ministre de la sante
Depuis
plusieurs années,
une centaine de
plaintes
d’employeurs par an
aux conseils
départementaux de
l’ordre des
médecins, concernent
les médecins de tout
mode d’exercice dont
les écrits visent à
porter assistance à
leurs patients, qui
demandent réparation
pour des préjudices
qu’ils auraient
subis. Ces plaintes
révèlent les
dysfonctionnements
majeurs en matière
de droit des
instances
disciplinaires de
l’ordre des
médecins. La
définition même de
la déontologie
médicale fondée sur
l’intérêt exclusif
de la santé du
patient est ici
détournée et
inversée pour servir
l’intérêt de
l’employeur contre
celui du patient. Un
nouvel exemple,
particulièrement
scandaleux, de ces
dérives concerne
aujourd’hui un
médecin du travail,
le Dr Karine DJEMIL,
qui est intervenue
pour protéger par
des inaptitudes deux
salariées en grande
souffrance ayant
poursuivi leurs
employeurs
respectifs pour
harcèlement sexuel
et moral
...lire
la suite
|
|
|
26-01-2016
Billet du
coordonnateur
Affaire Karine
Djemil
Deux
plaintes
d’employeurs ont été
examinées par
l’instance
disciplinaire
régionale IDF,
concernant le Dr
DJEMIL, pour avoir
remis, à des
salariées de deux
entreprises, copie
de leur dossier
médical
(conformément à
l’article L1111-7 du
CSP) qui contenait
l’étude du poste
préalable à
l’inaptitude
médicale (article
R4624-31 du CDT).
lire la suite
|
|
18-01-2016
Le jugement de la Chambre disciplinaire de
première instance de
l'ordre des medecins
d'ile-de-france
Le texte du Jugement
|
|
10 Février 2016
:
Le Dr Jean
Rodriguez psychiatre a vu sa condamnation suite
à plainte d’employeurs, totalement confirmée en
appel. |
Le Dr Jean
Rodriguez psychiatre a vu sa condamnation suite
à plainte d’employeurs, malgré son
irrecevabilité, totalement confirmée en appel.
L’ordre des médecins confirme son projet
d’empêcher tous les psychiatres et médecins
généralistes d’attester du lien-santé travail.
Encore une fois, il bafoue les principes de
droit, dont le respect essentiel du secret
médical.
D Huez pour l’ass-SMT |
La
condamnation du dr Rodriguez confirmée
par une
décision " d'ancien régime "
L’instance disciplinaire nationale de
l’ordre des médecins a donc choisi de
confirmer, en appel, la condamnation du
Dr Jean RODRIGUEZ, Médecin Psychiatre.
Le report sine-die de deux appels
concernant les Dr HUEZ et le Dr BERNERON
et cette condamnation pourraient être
une tactique de l’ordre. Alors que
l’ordre et ses juridictions ont dû
reconnaître « du bout des lèvres », le
bien-fondé de l’établissement du lien
entre la santé d’un salarié et son
travail par un médecin du travail, le
rapport scandaleux de 2006 n’a toujours
pas été corrigé et pèse encore sur les
autres praticiens.
lire la suite
|
|
|
26 Janvier 2016 |
Lettre aux trois Ministres : Mme
Marisol TOURAINE, Mme Myriam EL KHOMRI, Mr Jean-Jacques
URVOAS |
Madame la
Ministre,
Nous
revenons vers vous pour vous saisir, à nouveau,
des dysfonctionnements des instances
disciplinaires de l’ordre des médecins.
La
situation que nous souhaitons évoquer est
particulièrement révélatrice de ceux-ci, dont
nous avons déjà eu l’honneur de vous informer et
qui par ailleurs ont donné lieu à une question
de Mr Dominique WATRIN, Sénateur.
Il ne s’agit plus, cette fois, d’un simple
conflit du travail mais de pratiques, concernant
des salariées sous subordination qui, si elles
étaient confirmées, relèveraient d’un délit
caractérisé.
La
nature du conflit est précisée dans le
communiqué joint.
Alors que le Dr DJEMIL a jugé utile devant le
retentissement pour la santé de deux salariées
de les déclarer inaptes à leur poste de travail,
il lui est reproché d’avoir remis à ces
salariées leur dossier médical, dont elles ont
fait état, à l’appui de leur plainte pour
harcèlement sexuel, et qui est assimilé par les
instances disciplinaires à un « certificat de
complaisance ».lire
la suite |
|
.
|
20-01-2016
Bilan chiffré des
affaires ordinales
suite à Plainte
d’employeurs contre
des médecins du
travail,
psychiatres,
généralistes
Près
de 42 affaires dans
14 départements nous
sont connues, dont -
7 pour 2013, - 13 en
2014, - 13 en 2015.
Soit 10 par an
minimum sur 12
départements (un
médecin peut être
concerné par
plusieurs affaires :
au moins 3 cas) lire la suite
|
19-01-2016
Médecine du travail: le conseil de
l'ordre attentif aux... employeurs
La médecine du travail devrait figurer dans la loi qui
sera présentée par Myriam el Khomri ce printemps. Les
professionnels se disent sous la pression croissante des
employeurs, qui attaquent leurs certificats médicaux
devant le conseil de l'ordre des médecins.
L’histoire est toujours la même : un salarié consulte
son médecin du travail, son généraliste, ou un
psychiatre. Ce dernier rédige, via des certificats
médicaux ou des courriers à des confrères, des écrits
qui établissent le lien entre l'état de santé psychique
de leur patient et son travail. Ces écrits se
retrouvent, parfois des années plus tard, dans un
dossier aux prud’hommes, quand le salarié se plaint de
harcèlement ou licenciement abusif… les employeurs
s’insurgent alors, et attaquent les médecins devant les
chambres disciplinaires du conseil de l’ordre, chargées
de veiller à la déontologie médicale.
lire la suite
|
signez la
PETITION d'ALERTE et
de soutien aux trois
médecins du travail
dont l'indépendance
professionnelle est
mise en cause
lire la suite |
|
2015 |
|
EN
ATTENDANT.....LE
CNOM
Veuillez trouver
ci-joint le billet
du coordonnateur de
la pétition de
soutien aux médecins
poursuivis devant
les instances
disciplinaires du
CNOM. J'y décris la
situation assez
contrastée et
m'interroge sur
l'énigme du report
des instances du 8
septembre. La
prochaine étape
importante est
l'instance du 3
décembre au CNOM
concernant le Dr
Rodriguez. Le
rendez-vous pour le
soutenir est fixé à
15h devant le
conseil national de
l'ordre des médecins
180 Boulevard
Haussmann à Paris
lire la suite
Appel à soutenir le
Dr RODRIGUEZ
Poursuivi devant le
Conseil de l’ordre
des médecins
lire la suite
Comité de soutien au
Dr Rodriguez
|
L’instance
disciplinaire
nationale confrontée
à un dilemme !
L’instance
disciplinaire
nationale du conseil
national de l’ordre
des médecins (CNOM)
convoque les Drs
HUEZ et BERNERON le
même jour, le 8
septembre, alors que
leurs affaires ont
été l’objet de
décisions des
instances
disciplinaires
régionales à des
mois de distance.
Nous avons du mal à
considérer qu’il
s’agit d’une
coïncidence.
Plus probablement,
le conseil de
l’ordre des médecins
embarrassé, voire
discrédité, par ces
affaires voudrait en
finir :
lire la suite
|
|
Le Dr DELPUECH est
relaxée de toute
faute par la chambre
disciplinaire
nationale de l'ordre
des médecins.
lire
la suite
|
12-04-2015-Le
Conseil National de
l’Ordre des Médecins
oublierait-il ses
obligations
déontologiques par
complaisance pour
des employeurs qui
ne sauraient
représenter les
intérêts de la santé
des patients ?
Publiée par
Mediapart le 6 avril
2015 sous le titre :
Le Conseil de
l’ordre des médecins
est-il partial ?
lire la suite
|
Bonne nouvelle,
Bernadette Berneron
médecin du travail
n’est pas condamnée
dans l’affaire Selco-Bio,
la plainte du
médecin employeur
devant l’ordre des
médecins est
rejetée.
11-04-2015
A noter pourtant que
dans cette même
affaire, même
plaignant employeur,
même patient, même
diagnostic du lien
santé-travail mis en
cause:
- un des
généralistes objet
d’une plainte de ce
même employeur avait
renoncé à son
diagnostic en
conciliation
ordinale!
- que l’autre
généraliste aussi
objet d’une plainte,
qui n’avait pas
renoncé à son
diagnostic, avait
été condamné à un
blâme par la même
chambre
disciplinaire!
Dans l’affaire de
Bernadette Berneron,
les plaintes à
répétition de
l’employeur l’ont
discrédité,
.lire la suite
|
Le
Conseil National de
l’Ordre des Médecins
oublierait-il ses
obligations
déontologiques par
complaisance pour
des employeurs qui
ne sauraient
représenter les
intérêts de la santé
des patients ?
Publiée par
Mediapart le 6 avril
2015 sous le titre :
Le Conseil de
l’ordre des médecins
est-il partial ?
Un
relevé des plaintes
d’employeurs auprès
des conseils
départementaux de
l’ordre des médecins
(CDOM) amène à
évaluer que le
nombre de plaintes
d’employeurs contre
des médecins, toutes
spécialités
confondues, est
d'environ 200 par
an, dont la moitié
concerne des
médecins du travail.
Un
syndicat de médecins
du travail a
interrogé le conseil
national de l’ordre
des médecins (CNOM)
sur le nombre de
plaintes
d’employeurs contre
des médecins reçues
par les CDOM.
lire la suite
06-04-2015 |
DEUXIEME COMPARUTION
DU DR BERNERON
DEVANT L’ORDRE DES
MEDECINS : SUFFIT-IL
D’ÊTRE EMPLOYEUR
POUR AVOIR GAIN DE
CAUSE ?
Le Dr
Bernadette BERNERON
est à nouveau
convoquée le 11 Mars
devant la Chambre
disciplinaire
régionale de l’ordre
des médecins de la
région Centre. Cette
lire
la suite |
Respect
du secret
professionnel : en
médecine du travail, le silence est d'ordre
Un article de mai 2008
Que faire, que dire?
Pour avoir alerté
l'Inspection du
travail ou le CHSCT
sur les atteintes à
la santé subies par
des salariés, des
médecins du travail
ont été accusés
par les employeurs
de violer le "secret
professionnel"
Suivre ce lien |
Billet du
coordonnateur de la
pétition
ACCUMULATION DES
PLAINTES AU CONSEIL
DE L’ORDRE CONTRE LE
DR BERNERON : LA
VALIDATION DE NOTRE
PETITION, UN APPEL A
MOBILISATION
lire
la suite |
Témoignage et analyse d'un médecin poursuivi
Communication pour
la Conférence-débat : Médecin du travail : le temps du silence Faculté de droit,
Nancy, 26 mars 2015
Je témoigne
ici à partir de ma posture de médecin du travail. J'ai été poursuivi devant un
Conseil Départemental de l'Ordre des médecins (CDO) par l'employeur d'un salarié
vu en urgence dans un Service de Santé au Travail (SST) d'un site nucléaire,
salarié pour lequel j'ai rédigé un écrit médical et dont je ne suis pas
règlementairement le médecin du travail. De cela j'ai été condamné par une
chambre disciplinaire régionale à un avertissement dont j'ai fait appel. Le
jugement de la chambre disciplinaire régionale de l'ordre des médecins a
considéré particulièrement les éléments suivants : " …/… a présenté la relation
des dires comme des constatations, et a porté sur les conditions de travail de
ce salarié une appréciation comportant des qualifications de nature pénale - …/…
qu'il ne saurait pour autant, dans un certificat médical, attester de faits
qu'il n'a pas constaté "
lire la suite
|
|
MADAME LA MINISTRE, NE LAISSEZ PAS LES EMPLOYEURS SE MÊLER DE
DÉONTOLOGIE MÉDICALE !
Alors
que les années 90 ont été celles de l’amiante, en ce début de XXIe siècle le
nouvel enjeu majeur pour la santé de milliers de salariés est bien la souffrance
psychique au travail. S’il a malheureusement fallu pour cela la médiatisation de
nombreux suicides chez France Télécom-Orange, des médecins, des organisations
syndicales et des associations de victimes tentent aujourd’hui de faire œuvre de
prévention. Mais comme face à toute prise de conscience, des résistances
persistent, et certains employeurs contestant leur responsabilité cherchent
aujourd’hui à instrumentaliser les instances disciplinaires médicales pour leur
défense, comme dans les cas récemment médiatisés des Drs Dominique Huez et Jean
Rodriguez.
lire la suite
|
.
DEUXIEME
COMPARUTION DU DR
BERNERON DEVANT
L’ORDRE DES MEDECINS
:
SUFFIT-IL D’ÊTRE
EMPLOYEUR POUR AVOIR
GAIN DE CAUSE ?
APPEL A
RASSEMBLEMENT LE 11
MARS 2015
Le Dr
Bernadette BERNERON
est à nouveau
convoquée le 11 Mars
devant la Chambre
disciplinaire
régionale de l’ordre
des médecins de la
région Centre. Cette
fois ci, elle est
l’objet, comme
médecin du travail,
d’une plainte d’un
employeur le
laboratoire SELCO-BIO
qui récidive,
puisque sa première
plainte n’avait pas
été jugée recevable
par le conseil
départemental de
l’ordre des médecins
du Loir et Cher.
Nous avons déjà
dénoncé le caractère
répétitif de ces
plaintes qui
démontre un
acharnement des
employeurs sur ce
médecin et leur
instrumentalisation
du conseil de
l’ordre.
lire la suite
.
Billet
du coordonnateur de la pétition
Les
chambres disciplinaires de l’ordre démenties par les faits
Deux
faits incitent aujourd’hui à prendre la plume pour confirmer s’il en
était besoin l’importance de notre action commune :
· la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins de la
région Centre a condamné le Dr BERNERON à un avertissement, comme
médecin hospitalier d’une consultation souffrance au travail, suite à
plainte du conseil départemental de l’ordre motivée par celle d’un
employeur, pour un écrit concernant une salariée dont la pathologie
était reconnue en accident du travail au moment de la consultation.
· alors qu’il a été condamné par la même chambre
disciplinaire, suite à plainte d’un employeur, à la même peine, le Dr
HUEZ a appris que le salarié, pour lequel il avait rédigé l’écrit objet
de la plainte, a eu gain de cause et que l’employeur qui avait porté
plainte contre lui au conseil de l’ordre a été condamné pour harcèlement
moral envers ce salarié.
· Rappelons que, déjà, le tribunal des prud’hommes
puis la cour d’appel avait donné gain de cause à la salariée pour
laquelle le Dr DELPUECH avait rédigé un écrit qui lui avait valu d’être
poursuivie par l’employeur.
lire
la suite
|
|
Le
Docteur Bernadette Berneron, médecin du travail, ici consultante au CHU
de Tours pour la " Souffrance au travail ", vient d'être condamnée à la
sanction de l'avertissement par la chambre disciplinaire de l'ordre des
médecins du Centre.
|
|
|
2014 |
|
Plaintes au Conseil de l'ordre
: la passivité de l'Etat relève-t-elle de l'abstention
délictueuse ?
Plutôt
que de s'adresser aux juridictions de droit commun, certains
employeurs ont entrepris, en les poursuivant devant les
juridictions de l'ordre des médecins, de terroriser les médecins
qui conformément à l'article 50 du code de déontologie médicale
assurent à leurs patients l'accès au droit à la reconnaissance
de
pathologies
professionnelles. De ce point de vue on peut malheureusement
craindre que leur objectif soit atteint et qu'ils portent
préjudice à ce que nous nous obstinons à nommer " médecine du
travail ". Rappelons néanmoins que ces plaintes concernent tout
le panel des praticiens pouvant constater les effets du travail
sur la santé : médecins du travail, praticiens hospitaliers en
psychopathologie du travail, praticiens hospitalier en
pathologie professionnelle, psychiatres, généralistes.
lire la suite
|
. |
Le Dr
DELPUECH est relaxée de toute faute par la chambre disciplinaire
nationale de l'ordre des médecins.
Un jugement favorable
mais qui n'aborde pas le problème de fond : la réception
de plaintes d'employeurs par le conseil de l'ordre est
illégale
Le Dr
DELPUECH est finalement relaxée de toute faute par la
chambre disciplinaire nationale de l'ordre des médecins.
Il faut saluer le courage et la ténacité de notre
consœur et collègue, ainsi que sa valeur
professionnelle. Rappelons, en effet que, parallèlementt
à cette dénonciation calomnieuse d'un employeur, ses
écrits sur les conséquences du " benchmark " pour les
salariés
Lire la suite :
|
Le texte
de
la chambre disciplinaire nationale
de l'ordre des médecin
Relaxant le Dr DELPUECH |
|
. |
Intervention en
soutien médical au Docteur Berneron, devant
la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins du Centre
Près
de 200 écrits médicaux très argumentés, ont été rédigés par les
quatre médecins de la consultation Souffrance et Travail du CHU de
Tours depuis 2011. Ils ont donc 200 fois le risque de se retrouver à
nouveau devant votre chambre. Le Dr Berneron fait partie des rares
praticiens qui refusent de s'expliquer en conciliation ordinale,
avec un plaignant employeur qui ne représente en rien la santé de
son patient. Cela pour préserver son indépendance et le secret
médical.
lire la suite
suivre ce lien |
|
. |
COMPARUTION DU
DR BERNERON DEVANT L'ORDRE DES MEDECINS :
LE DROIT DE SE DEFENDRE EN
PERIL
APPEL A RASSEMBLEMENT
LE 17 DECEMBRE 2014
Le Dr Bernadette BERNERON est convoquée le 17 décembre devant la
Chambre disciplinaire régionale de l'ordre des médecins de la
région Centre, du fait de la plainte du Conseil de l'ordre des
médecins du Loir et Cher, suite à la plainte de la FDSEA
(Fédération départementale des syndicats d'exploitants
agricoles). |
Lire
la suite
|
Rappelons que ce médecin a fait l'objet de quatre plaintes
successives d'employeurs.... |
|
|
. |
Billet du
coordonnateur de la pétition
ACCUMULATION DES PLAINTES AU CONSEIL DE L’ORDRE CONTRE LE DR
BERNERON : LA VALIDATION DE NOTRE PETITION, UN APPEL A
MOBILISATION
Si
elles n'avaient un caractère odieux et ne posaient la question
d'un attentat aux droits
fondamentaux, les plaintes d'employeurs
récurrentes déposées auprès du conseil de l'ordre concernant
l'exercice du Dr Bernadette BERNERON
lire la suite
Attestation
du Dr HUEZ, pour le Dr BERNERON, dans la plainte de la FNSEA
Attestation :
|
. |
NOUVELLES DE LA PETITION d'ALERTE et de soutien :
|
Au 21 Septembre 2014 :
10235 Personnes ont signé la
pétition
-
dont
865 Médecin du travail ou de prévention
-
dont
18 Infirmières en santé au travail
-
dont
7 Médecins Inspecteurs du Travail
-
dont
107 Contrôleurs, inspecteurs, directeurs du Travail
|
Appel d'un collectif
d'organisations pour le soutien aux trois médecins du
travail dont l'indépendance professionnelle est mise en
cause :
|
Texte de l’appel pour l’adhésion des
organisations
Les plaintes d’employeurs auprès du
conseil de l’ordre, contre 3 médecins du travail, ont fait
l’objet de l’actualité récente et ont suscité des protestations
bien au-delà des professionnels de la santé au travail. L’appel
à soutenir ces trois médecins a déjà recueilli 9000 signatures
dont 800 médecins du travail et une centaine de contrôleurs et
inspecteurs du travail.
lire la
suite :
Je souhaite être informé personnellement des activités de
ce Collectif. Je donne mon adresse mail pour cela ci-dessous.
|
|
|
PETITION D'ALERTE ET DE SOUTIEN :
Vous pouvez signer la pétition en
fin du texte |
|
|
|
06-02-2014
Prendre du recul :
Examiner de plus près
la nature et le fonctionnement des juridictions ordinales
Par le coordonnateur de la
pétition le Dr Alain carré
Soutien au Docteur Jean
Rodriguez psychiatre du service public hospitalier attaqué devant
l’ordre par l’enseigne de décoration Zôdio du groupe Mulliez. L’ordre
des médecins appliquant la loi Bachelot de 2009, le poursuit maintenant
directement sans aucune instruction autonome, sans l’aval d’une autorité
régalienne, reprenant tous les arguments de l’employeur à son compte. Il
est convoqué le vendredi 14 février devant la chambre disciplinaire
ordinale de Marseille à 9h30
http://csdr84.net
/. Soutenons-le !
Soutien au Docteur Nathalie
Pennequin médecin du travail expérimentée de la RATP, que la RATP veut
faire taire pour qu’elle n’instruise plus le lien santé-travail, au nom
de soi-disant patients fictifs qui ne portent pas plainte eux-mêmes
devant l’ordre des médecins. Malgré cette illégalité flagrante, l’ordre
des médecins a reçu la plainte, et organisé une pseudo
conciliation-menace sans aucun des patients, à laquelle elle ne s’est
pas rendue pour préserver son indépendance professionnelle.
lire la
suite |
Audience à la chambre disciplinaire de
première instance de l’ordre des médecins de Marseille
concernant la
plainte patronale contre le Dr Jean Rodriguez, psychiatre hospitalier à
Avignon
le 14 février à 9h 30,
5 rue d'Arles,
Marseille
17ème.
Contact : jrodrig@free.fr
Site Internet
:
http://csdr84.net/
voir ci-dessous
|
|
La
chambre
disciplinaire de l'Ordre des Médecins condamne le Dr
HUEZ à un avertissement
... et au
paiement de 35 Euros à la société ORYS.
Lire la suite :
|
Après
« sanction » :
Analyse de la
situation du coordonnateur de la pétition
20-01-2014
Ce qui frappe ici est l’inconsistance des
considérants sur les deux questions de droit
essentielles:
• Un conseil de l’ordre peut-il recevoir une plainte
d’un employeur
• Le médecin du travail accomplit-il une mission
d’ordre public ?.....
Lire la suite |
Le Docteur D. HUEZ
fait donc appel de cette décision:
...car ainsi il
est impossible à un médecin de certifier du lien
santé-travail avec une conception des certificats
qui ne sont valables que pour les “coups et
blessures” et ignore les certificats de maladie
professionnelle. L’anamnèse professionnelle doit
être prise en compte et nommée. ......
Lire la
suite
|
|
Archives 2013
|
Le
point de la situation par le coordonnateur de la
pétition :
Que nous a appris l’audience de la chambre
disciplinaire du
18 décembre 2013 ?
Tout
d’abord, que le caractère confidentiel de cette
audience, qui favorise un manque de visibilité
sociale, peut être contourné par une mobilisation
collective.
Concernant le fonctionnement des juridictions de
l’ordre plusieurs questions sont maintenant
posées publiquement et le législateur devra y
répondre :
• Un conseil départemental est-il obligé de
transmettre la plainte d’un employeur ?
Lire la suite |
|
Le Docteur Rodriguez, médecin
psychiatre,... est
attaqué par le Conseil de l’Ordre des Médecins du Vaucluse...
pour un certificat médical qui fait
le lien entre la pathologie présentée par une patiente et ses
conditions de travail.
Sept 2013
Nous, citoyens, patients, confrères,
collègues, amis, demandons au Conseil de l’Ordre des Médecins
• d’abandonner toute poursuite à
l’encontre du Docteur Rodriguez,
• de retirer ses commentaires du Code
de Déontologie (article 28 et 76) qui dénaturent l’esprit de la Loi.
|
Communiqué du NPA.
Non aux sanctions
contre le docteur Rodriguez, dissolution de l’ordre des
médecins, médecine du travail indépendante du patronat !
Suivre le
Lien
Mulliez veut mettre les
médecins sous
ordonnance !
suivre le lien
L’UD CGT de Vaucluse
rejoint le Comité de Soutien au Dr Rodriguez
suivre le lien |
|
|
PETITION d'ALERTE et de soutien :
Les organismes suivants
apportent leur soutien à la pétition |
|
|
Appel d'un collectif
d'organisations pour le soutien aux trois médecins du
travail dont l'indépendance professionnelle est mise en
cause :
|
Texte de l’appel pour l’adhésion des
organisations
Les plaintes d’employeurs auprès du
conseil de l’ordre, contre 3 médecins du travail, ont fait
l’objet de l’actualité récente et ont suscité des protestations
bien au-delà des professionnels de la santé au travail. L’appel
à soutenir ces trois médecins a déjà recueilli 9000 signatures
dont 800 médecins du travail et une centaine de contrôleurs et
inspecteurs du travail.
lire la
suite :
Je souhaite être informé personnellement des activités de
ce Collectif. Je donne mon adresse mail pour cela ci-dessous.
|
|
|
Un article de 2006 de l’association SMT tristement prémonitoire :
PLAINTE DES EMPLOYEURS CONTRE LES MÉDECINS DU TRAVAIL
POUR UNE DÉONTOLOGIE DES JURIDICTIONS DE L’ORDRE DES MÉDECINS “
cahier N°21 du SMT Juin 2006
L'article
|
|
|